comment apprendre la révérence a son cheval

Commentapprendre la réverence à son cheval? Posté le 26/09/2012 à 20h42 C'est ce que je fais Avec mon espagnol . je passais le bras entre ces pattes et je suis fessait sentir Vousallez apprendre à faire connaissance avec votre monture mais aussi avec la vie du centre équestre (matériel, règles à suivre, animations). Il est préférable d’arriver au club 30 minutes avant de commencer son cours pour prendre le temps de s’occuper de son cheval : Avantde demander un départ au galop, il est impératif de trouver le bon trot, afin que la transition se fasse dans le confort. Installez vous sur un grand cercle, votre cheval doit être en équilibre, cadencé, et serein. Il ne doit pas anticiper. Si besoin ralentissez un peu avant de partir au galop. Mettez vous au trot assis de préférence. Pourenseigner ce tour, vous aurez besoin des friandises préférées de votre chat. Montrez la friandise à votre chat et placez-la lentement au-dessus de sa tête puis donnez la commande « Assis ! ». Afin de garder un œil sur la friandise, votre chat devra lever la tête, ce qui déplacera le centre de gravité de son corps. metteznous des photos et expliquez comment vous avez fait. Les expatriés de la FFE: Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer. Un forum tout beau tout neuf pour les personnes qui n'auront plus accès a celui de la FFE dès le 15 mai! Accueil Rechercher . S'enregistrer Connexion : Les expatriés de la FFE :: nonton film that winter the wind blows sub indo. Sélection des meilleurs Promos Chevaux >> Pour sensibiliser la jambe du cheval à l’action du bâton, tapotez la poitrine du cheval avec. Au début, il faut être franc et déterminé. Choisissez un code tour Ici la poitrine sera associée à la jambe. Arrêtez votre action dès que le cheval a la moindre réaction à son sabot. Sommaire1 Pourquoi les chevaux ne doivent pas rester couchés trop longtemps ?2 Comment être ferme avec son cheval ?3 Comment apprendre à son cheval à faire le pas espagnol ?4 Comment apprendre des tours à son cheval ? Pourquoi les chevaux ne doivent pas rester couchés trop longtemps ? Une incapacité à soulever Cependant, en raison de son poids, le cheval est un animal qui ne peut rester longtemps en position couchée, surtout s’il reste du même côté. En effet, en décubitus latéral position debout sur le côté, les organes et muscles situés en dessous sont fracturés et mal vascularisés. Lire aussi Comment avoir une DP ? Les chevaux ont-ils froid ? En général, les chevaux s’adaptent bien au froid. Lorsqu’elles ne sont pas tondues, elles sont à l’aise à des températures basses, voire négatives, à condition qu’on leur fournisse ce dont elles ont besoin selon leur âge, leur état de santé, leur condition physiologique, le travail qu’elles fournissent. Quand montez-vous un cheval ? Le cheval ne se couche que lorsqu’il se sent en sécurité, par exemple dans son box, ou dans sa bande. Faites ensuite une petite sieste de quelques minutes. Lorsque le cheval dort debout, ses genoux postérieurs se referment en se déplaçant sur la cuisse, empêchant la jambe de fléchir. Les chevaux dorment-ils profondément ? Et oui, les chevaux dorment bien debout, mais ce qu’il faut savoir c’est qu’ils peuvent aussi se coucher et dormir en se couchant. Et il dort souvent ! … Et c’est seulement quand je suis allongé sur le côté, sur le côté, les jambes tendues, qu’ils vont en sommeil paradoxal. A lire sur le même sujet Quel est le nom de la femelle du porc ? Quel est l’habitat du cochon ? Comment définir un cheval ? Comment monter à cheval débutant ? Comment être à l’aise à cheval ? Essayez d’appliquer une pression sur le cheval tous les jours jusqu’à ce qu’il réagisse à chaque fois que vous le faites. Sur le même sujet Comment bien choisir un poney ? Bien que cela puisse prendre du temps et demande beaucoup de patience, il est important de faire pression pour gagner la confiance et le respect des animaux. Comment savoir si votre cheval vous aime ? Attention à la position de la tête et de l’encolure du cheval De manière générale, la position de la tête et de l’encolure du cheval est aussi un moyen de connaître son humeur. Si l’animal baisse légèrement la tête et le cou en votre présence, cela signifie qu’il profite du moment partagé avec vous. Comment mettre la main sur un cheval ? Vous devez toujours être calme, un peu emballé et un non » ferme fera l’affaire. Vous n’êtes pas obligé de laisser votre cheval tirer le meilleur de vous de cette façon. De même, s’il menace de craquer, il claque dans la croupe, toujours avec un non » ferme. Un cheval qui donne des coups de pied ou mord est déjà en position dominante. Comment apprendre à marcher à un cheval ? Pour aplatir votre colonne vertébrale, suivez le mouvement du cheval, vers le haut et très légèrement vers l’arrière. Sortez de la plate-forme vers le passage, en relaxant subtilement votre colonne vertébrale pour permettre plus de mouvement vers l’avant. Ceci pourrait vous intéresser Pourquoi le mulet est un animal stérile ? Votre dos est toujours relevé, mais permettez au mouvement d’avancer. La jambette, le plus célèbre des tours de magie Sans doute le tour le plus répété des chevaux ! En même temps c’est assez simple, avec un cheval assez éveillé. Un peu de sucre sous la poitrine, eeeeeeet Kiki jambette, jambette ! Lire aussi Comment S’occuper d’un cheval. Comment apprend-on à élever son cheval ? Une race ne demande pas un cheval qui a déjà des problèmes de confiance ou de peur. Un cheval qui souffre ou qui est malade ne sera pas sollicité. Le nez doit aussi être le seul nouvel exercice de la séance… une séance rythmée par le calme et la concentration. Comment apprendre à faire sourire son cheval ? Étapes pour apprendre à votre cheval à sourire Une fois que vous sentez cette bonne odeur, levez progressivement la main pour que votre cheval regarde. Naturellement, ses lèvres se soulevaient pour attraper la friandise. Vous pouvez également lui piquer la lèvre supérieure si elle a du mal à comprendre. La jalousie entre les cavalières une question taboue ? Pourtant, il existe dans vos expériences de femmes de cheval mille et une occasions pour éveiller en vous des sentiments de jalousie, ou d’envie. Deux émotions souvent difficiles à avouer certes, mais qui pourraient vous aider à grandir, pour peu que l’on vous explique comment les mettre à profit. Je vous invite à une petite séance de mise en selle pour apprendre à les apprivoiser, décomplexer et avancer… enfin ! Le besoin de se comparer aux autres Pourquoi elle et pas moi ?» vous reconnaissez cette petite phrase qui résonne parfois dans votre tête ? Pourquoi LA nouvelle cavalière du club passe déjà des barres à 135 quand, depuis des années, vous collectionnez les records à 115 ? En plus elle frime parce qu’elle a appris la révérence à Nougatine ! Nous nous comparons aux autres pour combler un besoin, pour nous assurer de notre valeur, de notre légitimité à appartenir à un groupe » explique Nicolas Boche, psychologue. Cependant, il s’agit-là d’une quête à double tranchant car, chercher à se rassurer continuellement c’est aussi s’inquiéter encore et toujours. Elle monte depuis à peine trois ans et se prépare à passer son G4 en même temps que vous, et vos 6 ans d’équitation cherchez l’erreur ! Tel un jury, votre esprit évalue en permanence que vos compétences. Vos comportements s’accordent à l’unisson avec ce qui est attendu de vous. L’objectif ? Être digne de mériter votre place au sein du groupe. Mais gare au stress, à la hantise de vous voir dévaluée ou même, à la perte de confiance en vous. Se comparer aux autres peut très vite s’avérer toxique. Et puis, comme le disait Karl Lagerfeld La personnalité commence là où finit la comparaison ». Jalousie ou envie ? That’s the question Il n’est pas toujours facile de faire le tri entre ce qui relève de la jalousie ou de l’envie. Ces émotions se confondent et provoquent en vous une même sensation désagréable. Pourtant, à bien y regarder, jalousie et envie se situent à l’opposé l’une de l’autre. La jalousie pointe la peur de perdre quelqu’un, ou quelque chose, à qui l’on tient énormément se voir déchue de son statut de crack du club par exemple. L’envie, au contraire, révèle un désir de posséder quelque chose que l’on n’a pas, ou d’être ce que l’on n’est pas rêver de s’appeler Pénélope Leprévost, championne olympique de saut d’obstacles. La jalousie, une émotion saine si elle est maîtrisée Shame on you! C’est officiel, vous êtes jalouse. Vous devenez inquiète, triste, en colère ou, pire, un poil agressive dès que vous apprenez qu’aujourd’hui Kiki sera monté par une autre. Vous avez alors le sentiment d’être menacée car vous redoutez par-dessus tout d’être d’abandonnée. Et si Kiki et L’Autre devenaient LE couple de l’écurie ? Vous voilà partie à construire le scénario du prochain long métrage vainqueur des Golden Globes. Vous commencez sans doute aussi à montrer les crocs… Attention cela pourrait devenir malsain. Pourtant, si elle reste raisonnable et maîtrisée, la jalousie est bien une émotion saine. La reconnaître ne fait pas de soi quelqu’un de foncièrement mauvais. Au contraire, cela montre la bienveillance que l’on a envers soi-même. Vous prenez conscience de l’importance de ce qui vous lie à quelqu’un et à quel point votre relation est privilégiée. L’amour donne à la vie tout son sens vie. Il donne tout simplement l’envie de vivre. Un sentiment on ne peut plus positif envers son équidé préféré, et qui invite à chiller chaque minute passée ensemble. Puisque la jalousie est une peur qui se manifeste, autant la regarder bien en face et se résoudre à l’affronter. Posez-vous les bonnes questions Est-ce que ma crainte se fonde sur quelque chose d’objectif ? Quelle est la probabilité pour que ce je redoute tant se réalise ? Et même si c’était le cas, quelle serait la meilleure attitude que je pourrais adopter ? Vous y voyez un peu plus clair ? Pour ma part, c’est oui car, pour peu que j’y réfléchisse , je sais que Kiki m’accueillera toujours avec le même hennissement de joie lorsque je passerai la porte de l’écurie… Marine, une jeune cavalière, se rendait malade de jalousie et s’en prenait à Chloé à chaque fois que celle-ci montait son cheval préféré. Elle se confie Jusqu’au jour où j’ai réalisé que je n’en pouvais plus, c’était dur ! Je souffrais trop et je faisais du mal. Un jour, j’ai pris la décision d’aller discuter en tête à tête avec Chloé. On s’est rendu compte que l’on voulait toutes les deux la même chose ce qu’il y a de mieux pour notre chouchou. Aujourd’hui on partage toutes nos astuces, nos bons plans matos et notre bonne humeur autour de Nock’ ! » Retrouvez Cheval Partage sur YouTube Cheval partage a désormais sa propre chaîne YouTube. Abonnez-vous pour être sûr de ne rater aucune de nos vidéos ! Au programme des prochaines vidéos séances commentées, tests de produits, tutoriels, idées d’exercices, réflexions équestres… Mais toujours dans le respect et l’amour du cheval. Abonnez-vous L’envie, un moteur pour progresser Vous ne supportez pas qu’une autre ait plus, vous vous affichez comme l’éternelle insatisfaite, égoïste et orgueilleuse. Vous vous sentez frustrée, comme à chaque fois que vous apercevez la bombasse du club défiler dans sa nouvelle tenue, sur le catwalk de l’écurie. Oui, elle est aussi proprio de trois chevaux alors que vous êtes proprio… d’une jolie selle. C’est vraiment trop injuste ! L’envie fait le job du gros buzzer rouge, elle alerte lorsqu’un besoin, essentiel pour vous, n’est pas satisfait. Servez-vous en, l’envie deviendra votre moteur. Vous admirez Pénélope ? Tant mieux, l’inspiration va stimuler votre curiosité et vous obliger à aller puiser dans vos ressources. L’espoir de devenir comme elle, une grande championne, vous aidera à avancer et à repousser vos limites. Pssssssit le secret, c’est de toujours chercher à progresser plutôt qu’à se comparer. Inutile d’envisager d’emblée intégrer la french team pour les JO de 2024. Soyez raisonnables, fixez-vous des objectifs atteignables travaillez votre assiette, la rectitude à l’abord d’un obstacle, préparez un Galop… Apprenez à collectionner les petites victoires. Elles vont vous permettre de développer votre confiance en vous et prendre de l’assurance. Il n’y a rien de mieux pour booster votre taux de dopamine ! Prenez le temps d’accepter vos sentiments, sans vous juger. L’acceptation vous ouvre les portes de la sérénité. Il s’agit d’apprendre à se satisfaire de ce qui est, de ce que l’on a, ou de ce que l’on a réalisé. Apprenez à développer de la compassion envers vous-même. Vous avez bossé à fond votre reprise de dressage, vous vous êtes appliquée pendant chacune de vos séances, vous savez que vous avez fait de votre mieux… Maintenant que vous entendez la cloche de départ, peu importe le classement final, il ne vous reste qu’à kiffer ! Ces articles peuvent également vous intéresser Par jordane 2007-12-29 094134J'aimerais vraiment apprendre à mon cheval comment faire la révérence, mais je ne sais pas vraiment comment mis prendre! C'est un jeune poulin et j'ai entendu dire qu'ils apprennent plus, mais ç n'a pas rapport. j'espère que quelqu'un a des trucs sur l'éthologie et plus précisément la révérence. Merci xxx Par Day20 2008-01-12 170515J'ai commencé à le montrer à mon cheval la semaine passée. Je le fais en terminant de la voir longer ou monter ou lacher en liberté. J'enleve laisse et licol les carottes sont assez motivantes pour qu'il reste pres Je prends son antérieur gauche dans ma main et je lui attire la tete entre les pattes avec la cerotte...jusqu a ce que son genoux touche le sol...!Par Woody 2008-02-11 134910J'ai fais comme Day20 pour l'entreinement, par contre j'attache la pattes entérieure avec une laisse , ce qui me permet de bien la manipuler. une foie que mon cheval le fais très bien, je lui ai appris tout simplement a lui donner une petite tape sous le ventre et ensuite elle fais son salut. Toujours a laide dune petite guaterie pour la motivation!Par Shesmine 2008-02-26 235404Il y a deux facons de faire. Et pour avoir essayé les deux, je préfère ma technique à celle de la carotte. Le mouvement est plus étiré, le cheval est beaucoup moins "bouboule". Ce que je fais, c'est de prendre son antérieur dans ma main et de demander doucement un reculer. Dès que le cheval déporte son poids vers l'arrière, j'arrête et je félicite. Après plusieurs tentatives, le cheval devrait finir par descendre assez pour placer un genoux au sol. Ca peut prendre 5minutes comme ca peut prendre 6 jours. Dépend du cheval! Par contre j'ai un problème, comment on fait pour que le cheval maintienne la position? Parce que ma jument le fait et elle reste maximum 2 secondes en bas... J'aimerais avoir vos conseils pour qu'elle reste placée en révérence. Par .Cas'eey 2008-03-10 213150Oui les carotte sa marche vrm .. des kil se penche un peu domnne lui un bout de carotte laisse le se relever puis félicite le !!.. Puis recommence en baissant de plus en plus bas a chake fois !!!Par KimPicard 2008-03-10 225729premièrement, Je te conseil de ne jamais forcer après lui! De toujours t'assurer d'être dans un environnement sécuritaire pck si un autre cheval arrive et le mors par exemple il n'aura plus confiance pour se rebaisser la tête! Tu n'as ensuite qu'à lui prendre la patte comme pour lui curer, tu exerces une petite pression vers larrieretrès légerte et tu attires avec un bonbon quelquonqueles carottes c'Est le best pour pas se faire mordre les doights! et tu le laisse s'étirer pour aller la chercher entre ses pattes! apres avoir réussi, félicite et récompense BCP BCP !! le cheval est intélligent apres avoir "catcher"ce que tu veux de lui il le refera s'il est gourmand pour avoir sa friandise!Bonne chance! Moi entouka cette technique à marcher et maintenant je le couche! Par Miss Sanz 2008-03-11 205357J'ai le même problème que toi Shesmine! Mon cheval fait la révérence sans problème, mais il ne reste que dans cette position là que 3-4 secondes! Comment faire pour qu'il garde plus longtemps la même position ? J'imagine que c'est une question de souplesse, il n'est peut-être pas encore assez souple pour réussi à garder cette position là plus longtemps. D'après vous ? Sandra ;Page 1 de 4> Dès le début Hermès et moi nous sommes bien entendus, il me suivait partout dans le pré, tout le temps. Je ne percutais pas vraiment qu’il était mon poulain », disons que je m’en occupais comme ci c’était le cheval d’une amie. Je l’aimais bien, mais sans plus. J’ai commencé par lui apprendre les choses basiques, puis rapidement j’ai monté d’un cran voyant qu’Hermès était réceptif et toujours volontaire. La bâche, le parapluie, sortir en main, mettre le surfaix… Il ne semblait jamais être surpris et acceptait toujours tout. La seule difficulté concernait la prise des pieds, j’avais beau insister et essayer toutes les techniques possibles, rien ne fonctionnait. Hermès – imperturbable, même dans la porte aux rubalises En Février 2019 4 mois après son arrivée, j’ai participé au challenge Equifeel Partage, les choses sérieuses » commençaient. Il comprenait toujours aussi vite, mais je voyais qu’il perdait en motivation. J’essayais donc de faire d’avantage de balades. Nous commencions à sortir sans autre cheval, mais un jour, je suis partie seule avec Hermès et Louve d’ordinaire, ma mère m’accompagnait toujours pour encadrer un peu et ça ne s’est pas bien passé. Surveiller Louve, tenir Hermès + le type qui lave son portail au kascher + un chien qui nous saute dessus + des oies derrière un grillage +..+…+…..+ Bref, Hermès montait en pression même s’il est resté tout à fait gérable! et je ne l’avais jamais vu comme ça. La petite peur du premier jour était soudain bien présente Et si je lâche mon poulain ? Qu’est ce qu’il va se passer ? ». Gros moment de stresse pour tout le monde, heureusement, ma copine S. est venue à la rescousse avec son papa, pour rentrer avec moi et récupérer Louve. C’était au mois de Février, j’ai complètement arrêté les sorties à partir de ce moment là. Je ne voulais plus sortir du pré avec lui. J’ai donc travaillé à pieds dans le pré, je faisais un peu de tout, je travaillais mes challenges Equifeel Partage. Parfois on faisait aussi des trucs un peu moins sérieux Je suis ressortie avec ma mère au bout de quelques temps et ça se passait relativement bien à chaque fois. En Avril, j’ai déménagé au revoir maison familiale !, donc Hermès a quitté le pré des Daltons et ai venu près de mon nouveau chez moi. Pension pré avec des copains. Je n’osais plus du tout sortir, sachant que je ne connaissais pas les environs et qu’il n’y avait plus personne pour m’accompagner. J’ai donc continué de le travailler à pieds. Hermès grandissait, s’affirmait et découvrait un peu ce que c’était que la vie de grand ». Nos séances à pieds étaient de plus en plus chaotiques, rien ne le motivait. J’ai décidé de me lancer et de repartir en balade. À partir de là, nous partions en balade tous les soirs lorsque je rentrais du boulot. 10 min, puis 15 min, puis une demie heure… Je profitais de ces balades pour lui montrer des choses nouvelles ainsi que pour lui faire faire des exercices de musculation au pas afin de commencer à travailler son petit corps de grand bébé. Je passais beaucoup de temps avec lui le soir et je commençais à souvent penser à lui dans la journée. Le seul hic dans tout ça, c’était le travail à pieds, Hermès n’aimait » pas ça, il n’était pas motivé et ne prenait aucun plaisir à faire ce que je lui demandais. Il commençait même à me pincer lorsque j’insistais trop, nous étions en désaccord permanent quand il s’agissait de boulot à pieds. Remise en question J’ai commencé à me pencher plus sérieusement sur la question de motiver réellement » Hermès. Hors de question pour moi de laisser tomber le travail à pieds ou de continuer sur cette route avec Hermès. J’ai commencé à chercher sur le net et je suis tombée sur les Horsenalities de Parelli. Une fois le test effectué, il s’avère qu’Hermès est LBE Left Brain Extrovert – Cerveau gauche Extraverti. La Horsenality d’Hermès – Cerveau Gauche Extraverti D’après le site Montmurat, les choses à faire avec un LBE sont – Leur apprendre des choses nouvelles au moins une fois par semaine. – Les séances doivent être actives, intéressantes, avec beaucoup de jeu. Il faut beaucoup d’imagination avec eux. – Espiègle, joueur, curieux, il faut beaucoup l’occuper. Ce cheval adore apprendre des tours, découvrir des nouveautés. – Il lui faut beaucoup d’espace pour bouger. En travail à pied, utiliser des longes très longues. – Il faut beaucoup le féliciter récompenses, caresses, sourire et rire. Le fait que vous le trouviez amusant est très gratifiant pour lui.” Et les choses à éviter L’ennuyer avec des répétitions sans fin. Quand il sait faire quelque chose, passer à autre chose. Vous pourrez toujours revenir plus tard sur un acquis pour le fignoler petit à petit.– La monte tranquille n’est pas vraiment le rêve de ce cheval-là. Il veut bouger, être actif. Sortez le beaucoup en extérieur.– Ne pas le travailler à pied avec des longes trop courtes.– Évitez de le punir. Il ne sait pas qu’il n’est pas sage. Il veut juste s’amuser. Les punitions pourraient le rendre agressif, lui faire peur, le réprimer pourrait l’éteindre.” Je ne suis pas vraiment pour “mettre les chevaux dans une case” ni les gens d’ailleurs !, néanmoins, cette première analyse » m’a semblé assez en accord avec ce que j’observais chez Hermès. Cela m’a aussi permis de voir que la récompense était importante pour les chevaux LBE. Moment gratouilles saisi par Marion Maillet Je ne souhaitais pas du tout travailler à la nourriture avec Hermès, n’ayant jamais été très fan de cette méthode, je ne l’ai utilisé que très ponctuellement auparavant pour apprendre la révérence par exemple. Je donnais une récompense alimentaire uniquement en fin de séance, pour récompenser la séance en général tout travail mérite salaire!, mais jamais pendant la séance. J’avais à peu près tous les à priori qu’on peut trouver sur la nourriture cheval irrespectueux, qui mord, qui ne travaille que pour la nourriture, où l’humaine est un distributeur » de bonbons… Il fallait un peu de temps pour que l’idée fasse une place dans ma tête… Le début du changement Au mois de Juin, après mon voyage en Islande, j’ai commencé à me renseigner sur les méthodes dites positives » qui impliquaient l’utilisation de la nourriture dans le travail mais aussi dans les soins. J’ai trouvé beaucoup de vidéos où des chiens, des chevaux, des chats, des fauves et des reptiles étaient dressés » grâce à la nourriture et acceptaient les soins sans souci ni contention. Premier constat on peut dresser n’importe quel animal avec cette technique même des serpents! Deuxième constat aucun animal toute espèce confondue ne réclame de la nourriture. QUOI ? On m’aurait menti ?? ahah Océane se creuse la tête » une route islandaise Ces constats m’ont plus qu’interpellée. Comment peut-on dresser des animaux aussi différents avec une seule méthode qui plus est, en un temps record ? J’ai cherché et trouvé des études qui mettaient en avant la récompense alimentaire afin de répondre à une motivation universelle manger oui pas bête quand on y pense. Il s’agit alors de répondre à un besoin primaire d’après la pyramide de Maslow Respirer-manger-boire-éliminer-dormir-se reproduire pour motiver l’animal à répondre à nos demandes. Les animaux ne réclament pas la nourriture, car au même titre que tous les apprentissages, cela a été travaillé en amont, la nourriture a été banalisée » et utilisée à bon escient. Après avoir eu des explications sur mes deux découvertes », force est de constater que j’étais d’accord et convaincue » par ces arguments. Il ne me restait plus qu’à me renseigner sur le travail dit au renforcement positif » et à me lancer. Le début de mon apprentissage Il fallait que je ré-apprenne tout depuis le début, sachant que je n’avais jamais travaillé ainsi avant avec aucun de mes animaux. J’ai commencé par regarder sur Youtube plus en détail les vidéos que je survolaient avant. Puis j’ai orienté mes recherches sur les chiens et enfin sur les chevaux. Par dessus ça, j’ai beaucoup discuté sur Instagram avec des personnes susceptibles de pouvoir répondre à mes nombreuses questions. Et puis un jour début juillet, l’air de rien, je suis allée voir Hermès au pré. J’avais trouvé que si je le grattais, je pouvais presque lui prendre les pieds correctement. J’appliquais le principe de punition négative » donner un confort et le retirer si le cheval ne donne pas la bonne réponse je le grattais, lui prenais le pied en même temps et s’il refusait de me le donner, j’arrêtais de le gratter. Ensuite je l’ai pansé en liberté, puis je lui ai donné un bout de carotte. J’ai ensuite demandé des petites choses qu’il connaissait déjà comme reculer, tourner les hanches, garder l’immobilité… Hermès capturé par Marion Maillet Il était plus que motivé, ça faisait bien longtemps que je ne l’avais pas vu comme ça. J’ai même eu pour la première fois des rappels au trot, avec petits sauts de joie. J’ai arrêté là et lui ai redonné un morceau de carotte. Cela a dû durer à peine 5 minutes, mais c’était vraiment super, Hermès respirait la joie de vivre ! Le principe de punition négative n’a marché que 2 fois avec les pieds, alors qu’avec cette technique j’avais réussi à supprimer le fait qu’il renverse son seau et tape dedans avec son antérieur. Il allait falloir trouver autre chose pour le convaincre de me donner ses pieds de poulain ! Après cette séance, j’ai continué de faire comme d’habitude », à savoir travailler à pieds de temps en temps mais sans récompenser pendant la séance. D’autant qu’Hermès quémandait toujours sa carotte de fin de séance et que je ne voulais vraiment pas me risquer à empirer » cette mauvaise habitude ahah sotte que j’étais!. J’ai poursuivi mes recherches néanmoins et j’ai commencé à me filmer systématiquement lorsque je travaillais à pieds. En plus d’avoir un poulain pas du tout motivé, j’avais aussi un gros souci de placement, de gestes confus et d’indications pas toujours très claires je parlais beaucoup et m’agitais notamment. Faire l’andouille est ma spécialité, ici Hermès m’apprend à brouter. Cela me décida à prendre un cours de travail à pieds pour que quelqu’un puisse me dire à l’instant T là ça ne va pas, essaies plutôt comme ça » et aussi à essayer le clicker sur un cheval expérimenté. Avant d’aller à mon cours de TAP, j’ai lu entièrement le livre d’Hélène Roche Motiver son cheval » et j’ai pris de nombreuses notes. {Je recommande d’ailleurs vivement ce livre à toutes les personnes désireuses d’en savoir plus sur le clicker car il est très bien écrit et abordable.} Puis une fois que j’avais plus d’idées de comment se lancer », j’ai essayé le clicker sur Louve. Le résultat était sans appel, Louve était hyper motivée à trouver la bonne réponse et ne réclamait pas vraiment la nourriture. J’étais ravie et très fière d’avoir essayé ! Le 15 août 2019, je suis allée prendre mon cours de TAP avec J. et j’ai testé le clicker sur un cheval qui connaissait déjà le principe. Finalement avec un cheval c’était comme avec un chien facile et fun . Louve et ses jolis yeux La deuxième partie du cours tournait autour du Savoir 1 & 2 de la méthode la Cense. Je dois dire que c’est là que j’ai décroché car il y a énormément de choses avec lesquelles je ne suis pas d’accord. Mais c’est un autre sujet peut être que je l’aborderai dans un article..! Se jeter à l’eau ! J’avais selon moi, fais le maximum de choses pour m’informer sur le renforcement positif, il ne me restait plus qu’à essayer et oui si on essaie pas, comment peut-on savoir si ça marche ou pas ? Le 19 août soit 4 jours après mon cours de TAP, je me lançais avec Hermès. J’ai testé pour la première fois le clicker training en contact protégé derrière une clôture afin de pouvoir me retirer si Hermès devenait envahissant, voire agressif pour la bouffe chose que je redoutais énormément. Mais en gentil petit gars qu’il était, pas une once d’agressivité ne s’est faite ressentir et il a compris à une vitesse fulgurante ce que j’attendais de lui. Je suis restée pendant plusieurs séances en contact protégé car je n’étais pas assez à l’aise pour être en contact direct. Voilà un peu plus de 3 mois que je travaille au R+ renforcement positif avec Hermès et nos progrès sont constants et rapides. Je n’ai plus aucune phase de régression depuis que je travaille à la nourriture. Si un point est bloquant, je le débloque en moyenne en 3 séances. Je ne peux que recommander cette méthode, car il faut bien le dire, elle fait des miracles ! à conditions bien sûr de l’utiliser correctement. Photo de Mahaut d’Ornellas Du clicker au bridge Comme dit précédemment, l’un de mes gros défauts à pieds est de m’agiter et de beaucoup parler. J’ai fait le choix de commencer le clicker pour apprendre à me cadrer. Pas de geste à faire ou de mot à dire, c’est un marqueur clair pour le cheval et non émotionnel constant = même valeur. J’ai d’ailleurs fais de nets progrès avec l’utilisation de cet outil. Mes gestes sont plus clairs, mes indications moins brouillonnes et je ne donne que de bons » codes vocaux sans parasite. Le seul souci c’est que le clicker occupe une main, hors j’aime avoir les deux mains libres et ne pas me sentir encombrée. C’est donc assez naturellement que je suis passée au bridge ».Le bridge est un marqueur vocal ou un bruit qui le même rôle que le clicker annoncer que la nourriture va arriver car on a donné la bonne réponse. Cela peut être un cloc » fait avec la langue, siffler, un mot… Pour ma part j’ai choisi de dire Tak » dans une sonorité assez aiguë. Tak veut dire merci » en islandais, sachant que c’est en grande partie mon voyage en Islande qui m’a fait changer ma vision de choses et que c’est un mot court que je n’utilise jamais pour autre chose, j’ai trouvé que c’était une bonne idée. Et dire merci, sur le principe, je trouvais ça très chouette ! Photo de Marion Maillet Petit point important avec le bridge ou tout autre marqueur, il faut qu’il soit unique et qu’il ne soit pas utilisé à tord et à travers. Son but est d’annoncer que c’est la bonne réponse et que quelque chose de bien va arriver en conséquence. Si le marqueur perd en valeur, il sera moins clair pour le cheval ou la licorne ou l’hippogriffe, bref le poilu qui travaille, d’où l’intérêt de choisir un code unique en son genre » par exemple, il vaut mieux éviter l’appel de langue classique car pour quasi l’entièreté des chevaux et des cavaliers, il veut dire avance plus vite ». Combiner R+ et R- L équitation classique se base principalement sur le renforcement négatif R- qui consiste à appliquer une pression et la retirer une fois que le cheval donne la bonne réponse. En contradiction avec le renforcement positif R+ où l’on récompense un comportement lorsqu’il survient pour le voir apparaître plus fréquemment. Je n’estime pas que l’un est moins bien ou mieux que l’autre, je pense que suivant nos objectifs, il est intéressant d’utiliser les deux en les combinant. C’est d’ailleurs ce que j’applique à présent, même si j’essaie au maximum de privilégier le R+. Le R- me permet notamment d’orienter Hermès sur la réponse que j’attends car en R+ le temps pour obtenir la bonne réponse est parfois long. Typiquement dans la prise des pieds, je lui sers le paturon en disant Donne » puis Tak» quand il lève le pied, puis je récompense. La pression que j’exerce sur son paturon est bel et bien du R-, puisqu’il y a un potentiel inconfort. Néanmoins, cela permet à Hermès de comprendre immédiatement que je veux qu’il me donne son pied. Je pense que dans cet aspect, le R- peut être tout à fait utile et le bonbon qui l’accompagne ensuite permet de fixer plus rapidement le comportement recherché. Cette remise en question à certainement été l’une des plus importantes de ma vie de cavalière/personne qui côtoie les chevaux, mais aussi la plus riche en découvertes. Je souhaite à chaque homme/femme de cheval de se lancer dans le R+ et de suivre une route nouvelle avec ses poilus 🙂 Comme beaucoup de personnes vous souhaitez ardemment photographier le cheval en mouvement. En effet le cheval produit des moments très intense lorsqu’il galope, trotte, marche. Mais est-ce si simple de déclencher et prendre la bonne photo au bon moment ou alors est ce qu’il faut prendre en compte certains facteurs ? Photographier le cheval de face, de profil, de trois quart La première chose que l’on vous enseigne dans les bases photographiques c’est qu’un objet en mouvement sera plus ou moins difficile à figer suivant comment il va se présenter à vous. En effet la vitesse d’obturation nécessaire pour une prise nette changera suivant la position. Du plus facile au plus complexe on trouvera d’abord la vue de face, puis la vue de trois quart pour finir par le profil. Suivant chaque angle de vue votre vitesse minimum sera différente. En effet cela va affecter la vitesse d’obturation mais aussi le suivi du sujet, le photographe etc. Un cheval de face sera plus vite net à basse vitesse que de profil où le flou sera plus présent. A vous donc de faire attention à ce détail. Photographier le cheval et ses allures Les allures du cheval sont le pas, le trot, le galop. Pour ceux qui ne sont pas cavaliers je vous invite à faire des recherches sur les différentes phases de chaque allure. En effet suivant l’allure du cheval, sa position sera plus ou moins esthétique. Si je devais prendre un exemple flagrant ce serait un cheval qui galope et qu’on photographie sur la phase où le cheval ne pose que son antérieur avant jambe. Le cheval se réceptionne avant de reprendre son mouvement. Car le cheval au galop se décompose en trois phases – La plus esthétique la pose du postérieur droit figure1– La pose de l’antérieur et du postérieur figure 2– La pose de l’antérieur figure 3 à fuir !!!!!– La phase de projection figure 4 cette phase est plus ou moins sympathique, c’est une question de modèle et de point de vue. On s’attèlera donc souvent à prioriser la première phase qui est la plus esthétique de toutes. Les deux autres auront un intérêt mais moindre. Tout dépendra du contexte, du cheval trot est une allure plus simple, allure à 2 temps avec deux phases pour chaque temps. Elle est assez régulière et permet des prises de vues sans risque de se tromper. Après encore une fois c’est une question de timing, de cheval, de choix bref…. La vitesse idéale pour photographier le cheval Désolé de vous décevoir mais c’est toujours aléatoire on va encore une fois revenir à ses bases – Présence de lumière– Ouverture de l’objectif– Capacité à monter en iso– Etc Donc il faut faire des essais. En règle générale on privilégie la vitesse de sécurité focale = vitesse d’obturation mini et on ajuste. Je dirais que 1/500 reste une vitesse dite moyenne. Je ne dis pas que c’est LA vitesse mais que cela reste une valeur d’exemple Le cadrage Le cadrage il faut l’anticiper. On ne peut pas composer tranquillement avec un cheval qui galope vent du c… dans la plaine. Donc on prépare son cadrage pour avoir son sujet sur le bord droit ou au milieu. Forcément avec le suivi le sujet sera parfois sur le bord gauche mais ces photos seront à passer en déchet les trois quart du temps. La rafale Suivant comment vous sentez la photo soit vous faites un cliché unique mais là encore suivant l’allure c’est parfois compliqué de déclencher pile au bon moment si la vitesse de l’allure est trop élevée soit on va créer une rafale. Un pas espagnol, un trot allongé ça peut le faire sans souci mais un galop bien lancé c’est souvent trop difficile. Donc pensez à passer en rafale de 3, voire rafale tout court. Attention quand le buffer de la carte mémoire sera plein l’appareil risque de se bloquer ». Il faudra donc attendre la fin du traitement logiciel de l’appareil pour enregistrer les fichiers et pour pouvoir déclencher à nouveau. Privilégiez donc des cartes mémoire de qualité avec des vitesses rapides pour faciliter le travail. Votre appareil peut aussi imposer des limitations à ce sujet et ne pas vous permettre d’encaisser des rafales très longues. L’autofocus L’autofocus c’est très simple passez en mode suivi, continu. De cette façon vous accompagnez le sujet avec le déclencheur à mi-course et la mise au point se fait en continu. Un moyen de conserver son sujet bien net. Après vous pouvez améliorer l’accroche de l’AF en vous servant du manuel de votre appareil. Chaque modèle possède ou non des options facilitant le suivi AF sur des sujets en mouvement. Je ne vais pas détailler ce chapitre ici. Mais savoir régler l’autofocus de votre réflex c’est une priorité pour avoir des photos bien nettes. Comprendre les modes et savoir les appliquer c’est s’adapter à chaque scène ou sujet photographié ! Les modes Le mode Priorité ouverture reste le mode de prédilection si vous avez la gymnastique facile pour changer l’ouverture et les isos de façon à compenser pour une vitesse d’obturation idéale. En clair savoir garder un oeil sur la vitesse d’obturation minimale conseillée. Sinon restez en priorité vitesse. De cette façon vous n’agissez que sur la vitesse d’obturation et ça vous laisse le champs libre pour cadrer et suivre le sujet. On évitera le mode manuel qui je le rappelle reste un mode atypique à réserver à des situations autres ou pour des puristes qui adorent se la jouer maitrise parfaite. Je passerais sur les techniciens qui maitrisent sur le bout des doigts ce mode, mais c’est un choix personnel. Perso je ne recommande pas. Moi je suis un fainéant je préfère le mode ouverture 😀 Si les fabricants ont un jour imaginé des modes semi automatiques ce n’est pas pour les regarder mais bien pour s’en servir. Encore une fois chacun en aura l’usage qui lui correspond le mieux. Le filé La méthode du filé, vous savez ces photos où le flou devient artistique, comme sur une photo de voiture prise sur circuit donnant cette impression de vitesse. Sur ce terrain je vous laisse tester. Essayer. Moi je déteste ça avec le cheval. Mais ça reste un point de vue totalement personnel ! On aime on aime pas mais c’est une technique qui demande un certain doigté pour y arriver. Technique de suivi, vitesse d’obturation. Pour savoir comment faire je vous laisse fouiner sur le net ! Le taux de déchet Souvent le risque d’avoir un taux de déchet important existe. Je ne parle pas forcément de déchet pour une photo floue, mais bien un déchet car la phase où le cheval se situe dans son mouvement ne sera pas esthétique du tout. Il faudra donc trier sévèrement pour ne conserver que les images où le cheval est mis en valeur. N’hésitez pas à demander de l’aide à un cavalier si vous ne comprenez pas, n’êtes pas certain. Le cheval pour être réellement mis en valeur il faut être très sélectif au cours de ses choix. Photographier le cheval en mouvement, conclusion Pour conclure je vous dirais que la photon de mouvement est déjà une discipline peu simple quand on débute. Avec un cheval c’est encore plus compliqué car il faut ajouter le facteur d’anticipation. Et oui prévoir la trajectoire d’un cheval qui galope en liberté ça s’apprend. Découvrir les allures et les phases aussi. Apprendre les allures de basse et haute école c’est encore un autre domaine. Donc vous comprendrez aisément que le cheval en mouvement est un domaine qui peut aller loin. On ne se contente pas forcément du pas, trot, galop et point c’est tout. Il s’agit juste du début de l’aventure. Comme d’habitude il faudra pratiquer beaucoup, observer, se documenter et pratiquer encore et encore ! Franck SIMON, je suis photographe professionnel spécialisé dans le domaine équestre et canin situé à Angoulême, en Charente, Nouvelle Aquitaine. Je réalise une très grosse part de mes images à la rencontre de nombreux cavaliers, écuries et élevages. Le cheval est ma passion, ma muse. Je n'ai de cesse de m'émerveiller devant lui et j'essaie de lui rendre hommage au travers de mes photographies. Spécialisé dans la photo d'équitation mais aussi pour les animaux de compagnie chien comme chat. Car pour vous ils sont partie intégrante de la famille et pour moi partie intégrante de ma pourriez aussi lire A propos Je suis un photographe passionné. Les chevaux, les animaux me font vibrer au quotidien. Mon but est avant tout de pouvoir faire plaisir et vous faire voyager au travers de mes images. J'aime aussi partager mes connaissances et mes expériences pour aider d'autres personnes à avancer, à progresser. Car pour moi le savoir doit circuler, voyager et être partagé

comment apprendre la révérence a son cheval